Qui a eu l’idée de tourner à 180 degrés
les cornes du taureau,
histoire de créer la lettre A?
Avec la quantité de clous qui traînassent
dans la remise, il y a de quoi ajouter
300 000 signes supplémentaires.
D’usage aujourd’hui restreint,
elle ne perd cependant pas son charme,
figée dans les vitrines.
On dira ce qu’on voudra,
les colonnes, elles tiennent le coup.
C’était bien le début mais
nous sommes encore loin de la fin ...
« L’art devrait être comme un jour férié:
quelque chose pour donner à l’homme
la possibilité de voir les choses
différemment
et de changer
son point de vue »
................................................Paul Klee
Ah! Les femmes attendent cela
des hommes depuis des lustres!
On n’a pas encore fini de déchiffrer
les écritures mayas ...?
En attendant, on peut se réjouir
devant ces magnifiques figurines.
Bon d’accord, un nom biscornu,
mais que de bleus il évoque...
On n’y va pas par quatre chemins,
dites-vous? Eh bien oui!
Paix et tranquillité.
Le temps passe au compte-gouttes.
Chaque langue a son alphabet.
Chaque lettre a son magnétisme.
Drôlement plus intéressant que
les quelques points gagnés au Scrabble.
L’ivoire ne leur a pas suffi,
le génie s’est mis de la partie.
Le contrepoint n’est pas l’apanage
de la musique!
Écrire un roman utilisant les signaux
maritimes rendrait le livre
gigantesque
mais serait un vrai plaisir
pour l’imprimeur.
Feuilles savamment imbriquées
dans un livre et fières de l’être.
Ne serait peut-être pas très efficace
aujourd’hui mais demeure
terriblement sympa!
Toujours faire attention à ne pas
s’enfarger dans les fleurs du tapis.
Garder l’œil ouvert ... et le bon.
Tout est dans la nuance, suffit d’y voir clair.
Il faut compter sur ses signes
pour faire des pauses sinon ... !!!
Qui se ressemble se rassemble...
le tout en bon ordre et sans chiffonnement.
Peut-on rester coincé dans une grille? J’en perds le souffle!
Le papyrus s’est envolé
comme un papillon, sans se froisser.
Pas si ancien que de gratouiller sur
du bois. Cela fait tourner la tête
à l’envers.
En zigzaguant on finit toujours
par arriver quelque part.